Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
A l'indépendant
Publicité
  • De Marx à Teilhard de Chardin, de la place pour (presque) tout le monde...
Newsletter
Archives
Visiteurs
Depuis la création 420 621
13 avril 2010

Conférence mondiale des peuples sur le changement climatique

Ce que nous attendons de la conférence mondiale des peuples sur le changement climatique

                                                               

par Jubenal Quispe *

               

Suite à l’échec de la 15e Conférence des Nations Unies sur le Changement Climatique en décembre dernier à Copenhague et face à l’évidence de la gravité du changement climatique, les peuples du monde (société civile et quelques dirigeants) se rendront dans la ville de Cochabamba, en Bolivie, les 20, 21 et 22 avril prochains pour tenir la Conférence Mondiale des Peuples sur le Changement Climatique et les Droits de la Terre Mère. Les thèmes qui y seront débattus sont les suivants:

      

• 1 . Quelles sont les causes structurelles et systémiques qui provoquent le changement climatique et quelles mesures de fond peut-on proposer qui permettent le bien-être de toute l’humanité en équilibre avec la nature ?

      

• 2. Un projet de Déclaration Universelle des Droits de la Terre Mère

      

• 3. Quels nouveaux engagements pour le Protocole de Kyoto et pour des projets de décisions de la Convention-cadre des Nations Unies sur le Changement Climatique sur les questions de la dette climatique, des migrants-réfugiés climatiques, de la réduction des émissions, de l’adaptation et du transfert de technologie, du financement, des forêts et du changement climatique, d’une vision partagée, des peuples indigènes, etc…

      

L’initiative a surgi du fait que la société civile organisée et différents dirigeants de plusieurs pays du monde ont été exclus systématiquement et ouvertement du débat et des décisions prises au sommet de Copenhague. De fait, la conférence des peuples essaie de rassembler toutes les voix qui n’ont pas été invitées à s’exprimer lors de ce sommet.

      

Sur le premier thème, des scientifiques, des militants et des porte-parole des peuples indigènes essayeront de répondre aux interrogations suivantes. Quel type de traitement notre patiente, la planète Terre, qui se trouve bien mal en point, requiert-elle ? Sera-t-il suffisant de lui appliquer une plus forte dose d’anesthésiant (de technologie propre) alors que nous continuerons à la disséquer (extraction/destruction) et à l’intoxiquer ? Ou bien devons-nous au contraire libérer notre patiente du système capitaliste fou dans lequel nous vivons pour lui permettre de se régénérer, loin du bistouri que sont l’extraction et le consumérisme? Quelles alternatives de philosophies de vie pouvons-nous opposer à la philosophie hédoniste de la compétition brutale entre les pays «développés» et les pays «sous-développés» ? Peut-on libérer le développement durable de la manie de l’ «extractivisme» auquel on assiste dans les pays appauvris économiquement, mais riches en ressources naturelles ?

      

Sur le second thème, les questions à débattre seront de savoir si l’on veut ou non reconnaître la Terre comme étant un sujet de droit. Jusqu’à maintenant, le débat allait plutôt dans le sens d’accepter que les humains aient des obligations à son égard. Si l’on reconnaît la Terre en tant que sujet de droit, alors les catégories philosophiques du sujet moderne (auto-conscient, rationnel et autonome) seront mises en doute. La théorie de la terre en tant que Gaia a établi le fait que la Terre est un super-organisme vivant, mais on n’y a pas parlé de droits. Avec la reconnaissance de droits pour la Terre, le fait est que l’on ne dépasserait pas seulement les fondements de l’anthropologie philosophique, mais toutes les matrices de la philosophie occidentale moderne.

      

De plus, ces droits (de la Terre) conduiraient à définir et à sanctionner les transgressions et les délits possibles. Des questions comme la subjectivité et l’intersubjectivité devraient être étendues au nouveau sujet de droit. En d’autres termes, les vérités scientifiques, théologiques, philosophiques, juridiques, politiques, etc. du mode d’être et de penser occidental seraient fondamentalement remises en question. Nous nous trouverions alors nécessairement face à un nouveau paradigme holistique et hologramatique [1].

      

Comme on le voit, les consensus trouvés lors de la Conférence des Peuples sur le Changement Climatique et les Droits de la Terre Mère pourraient, au niveau théorique, bousculer les fondements du paradigme de la science moderne et de ses disciplines de connaissance.

      

Et pour quelle raison a-t-on la prétention de donner à Cochabamba ce coup d’envoi pour un saut transcendantal pouvant infléchir toute l’histoire de l’humanité ? Parce que le diagnostic quant à la santé de la Terre est extrêmement préoccupant. C’est ainsi que le voient les différents rapports des scientifiques de l’ONU du Groupe Intergouvernemental pour l’Etude du Climat (GIEC). Personne, même parmi les plus prudents, ne peut nier le fait que l’avancée de la civilisation occidentale a été mortelle pour la terre au cours de ces 300 dernières années.

      

Oui, dans les années 70 du siècle dernier déjà, les écologistes (que l’on traitait alors d’ «apocalyptiques») se livraient à des diagnostics sévères sur la santé de la planète. Aujourd’hui, ce sont les rapports scientifiques officiels eux-mêmes qui nous disent que nous agissons déjà à contretemps. Chez nous, en Bolivie, nous n’avons pas besoin d’études scientifiques pour vérifier la disparition «silencieuse» des quelques névés qui nous restent. La soif et la disette, comme pour nous annoncer leur arrivée, rugissent de plus en plus fort aux portes des villes. Le climat, devenu fou, expulse les survivants de peuples entiers vers des destins incertains. La Terre ne parvient pas à produire suffisamment pour alimenter une foule toujours plus affamée (alors que l’opulence des autres croît aussi).

      

Dans ces conditions, le fait de prendre de nouveaux engagements et de faire des propositions concrètes pour élargir et approfondir les accords de Kyoto et la Convention-cadre de l’ONU sur le Changement Climatique, c’est le minimum que puissent faire les peuples qui obéissent à leur instinct de survie. Au-delà du fait de chercher à identifier les principaux responsables de la situation critique dans laquelle se trouve la planète, tous ceux qui participeront à la Conférence des Peuples, gouvernements, organisations sociales et indigènes ainsi que la société civile dans son ensemble, doivent prendre des engagements concrets pour changer autant le modèle de développement lui-même que les gestes de la vie quotidienne.

      

Les gouvernements progressistes comme ceux de Bolivie ou du Venezuela ont devant eux l’incontournable tâche de réviser leurs politiques développementalistes et «néo-extractivistes». L’humanité, au-delà des discours et des dénonciations prophétiques, a besoin de démonstrations concrètes du fait qu’il est possible de changer les modèles de développement (même celui que l’on nomme durable). Si cela n’est pas fait, alors les débats et les conclusions de la Conférence des Peuples n’auront rien de différents des déclarations mortes de Copenhague. Bien qu’il nous en coûte, il n’est pas cohérent d’exiger des autres ce que nous ne sommes pas disposés à faire nous-mêmes.

      

On sait déjà avec certitude que plusieurs des huit pays qui se partagent l’Amazonie participeront à cette conférence. Ce serait extrêmement «donneur de leçon» de leur part si ces pays définissaient de façon concertée une notion de défense fermée de l’Amazonie sans remettre aussi en question toutes leurs politiques «extractivistes» insoutenables concernant autant les hydrocarbures que les minerais et les forêts. Dire non aux barrages irresponsables, à l’agro-industrie et aux monocultures pour le biodiesel serait déjà une rébellion contre la «civilisation de la mort». Vous me demanderez alors d’où nous tirerons l’argent pour lutter contre la pauvreté ? Effectivement, la défense de l’Amazonie constitue l’une des dernières garanties que les peuples amazoniens ont pour exiger et négocier la dette écologique avec les pays riches, et c’est de là que pourra venir l’argent. D’autre part, des richesses telles que le lithium [2] pourraient attirer l’attention des investisseurs et détourner leur regard de l’Amazonie. Devons-nous nous servir de l’Amazonie ? Oui, mais seulement dans le cadre d’un plan de transformation durable et intégrale qui implique tous les peuples riverains.

      

Ce n’est qu’ainsi que la Conférence des Peuples sensibilisera et mobilisera des volontés sous différentes latitudes. Autrement, ce sera une conférence de plus pour faire du tourisme en «défense» de la Terre, avec beaucoup d’avions remplis de spécialistes de l’environnement. Nous avons appris en Bolivie que personne ne peut faire les choses à notre place. Prenons-nous en main et engageons-nous à exiger de nos dirigeants qu’ils garantissent à notre Terre Mère son droit à la Vie. Et agissons ensemble pour que le rayonnement de l’obscurité continue à faire place à la splendeur de l’aube. (Traduction Al’Encontre)


      

* Jubenal Quispe, d’origine péruvienne, a fait des études de théologie à Cochabamba. Il s’inscrit dans le courant de la théologie de la libération.


      

1. Edgard Morin explique ainsi le principe «hologramatique»:«il met en évidence cet apparent paradoxe de certains systèmes où non seulement la partie est dans le tout, mais le tout est dans la partie: la totalité du patrimoine génétique est présent dans chaque cellule individuelle. De la même façon, l'individu est une partie de la société, mais la société est présente dans chaque individu en tant que tout, à travers son langage, sa culture, ses normes.» [Réd.]

      

2.  Le lithium a pris une importance fort grande – en plus de la production du verre utilisé dans les constructions (les tours de verre) – à partir des projets de développement de batteries au lithium pour les futurs véhicules électriques. Le directeur central du Groupe Bolloré, Thierry Maraud, explique dans Le Monde (4 et 5 avril 2010): «Pour sécuriser leurs approvisionnements, tous les acteurs se sont focalisés sur trois pays: la Bolivie, qui détiendrait 40% des réserves mondiales de lithium ; le Chili qui en est le premier producteur ; et l’Argentine.» Il continue: «Nous avons aussi remis une offre à la Bolivie qui souhaite contrôler la filière, depuis l’extraction dans le Salar d’Uyuni jusqu'à la fabrication de batteries».

      

                   
Publicité
Publicité
Commentaires
J
Lettre ouverte <br /> <br /> Notion d’équité de base :<br /> La diffamation est un acte des plus sordide, mais à contrario la dénonciation est un devoir civique, nécessaire et incontournable, pour protéger des victimes potentielles et empêcher des criminelles de nuire… <br /> Si les coupables ont droit à la présomption d’innocence, il est des plus odieux que les victimes en soient « affublées » de la présomption de culpabilité… Chose qui est malheureusement des plus répandue, et je parle d’expérience !<br /> Les individus « peu fréquentables » dont les noms suivent ont les moyens de me poursuivre en justice, libre à eux de le faire. Je me ferai un plaisir de fournir les preuves de mes propos devant un tribunal non « bidonné », chose qu’on me refuse faute de moyens. Par conséquent, en temps que coupable présumé, je revendique mon droit à la présomption d’innocence et mon droit d’être pris au sérieux… Dans l’attente, je préviens de nombreuses victimes potentielles des actes de ces ignobles crapules, ce qui est un devoir civique mais aussi une assistance à personne en danger et ceci est loin d’être des mots en l’air.<br /> <br /> Cœur du sujet :<br /> Mr Garnier Jean, ex mari de Mme Lepen et ami intime du couple Lepen, PDG de plusieurs sociétés « écran » dont Ségitech, Finercor, Finecor, Ecotech…<br /> Mr Protain Gérard, avocat fiscaliste et gérant de la société Brevets et Associés, et ami personnel selon lui de Mr Borloo, ministre de l’écologie, de l’énergie et du développement durable.<br /> Mr Protain Florent, contrôleur de gestion chez Affine, société ayant plus d’un milliard d’euros d’actifs immobiliers.<br /> Mr Rouzé Jean-Louis, expert comptable et commissaire aux comptes, PDG de la société Fidelio et un des directeurs du directoire du groupe Fisalis, 7 millions d’euros de chiffre d’affaires.<br /> <br /> Et ceux ci parmi bien d’autres, bien sûr… <br /> Ces individus très « fréquentables » dans le « grand monde » font en fait partie d’un réseau criminel organisé, ayant pour but principal le blanchiment d’argent et l’évasion fiscale, et pour but secondaire de s’approprier par tous moyens, des participations et intérêts quelconques dans des industries.<br /> Par tous moyens j’entends l’escroquerie, les faux et usage de faux, l’abus de confiance mais aussi la spoliation, l’esclavage, l’intimidation, le chantage, les menaces (kidnapping, torture et mort) mais aussi, si besoin est, le meurtre... Et ils ont d’ailleurs essayé de m’imposer à signature par chantage un « contrat » de copropriété dans lequel se trouvait une « tontine » qui spécifiait que dans le cas où je viendrais à mourir, tout serait à eux, soyons naïf et pensez que ce n’était pas à dessein… Et ce, en plus de nombreuses menaces verbales… Ils sont très forts et des plus dangereux, car ils connaissent très bien les lois et savent les contourner à travers des sociétés écran basées à l’étranger et donc au dessus des lois françaises et gérées par des prête noms et il est très difficile d’obtenir des pièces écrites et de démontrer l’implication de ces individus, car ils dissimulent tout.<br /> J’accuse l’INPI ou Institut National de Propriété Industrielle d’avoir « normalisé » des faux documents permettant à ces individus d’agir en s’appuyant sur « l’honorabilité» de l’INPI pour mieux abuser leurs victimes, qui doivent se compter par dizaines à travers l’Europe.<br /> Je vous informe, afin que vous puissiez relayer l’information aux inventeurs que les experts en propriété industrielle ne sont déontologiquement, ni légalement, tenus pour responsables de leurs actes et qu’à ce titre ils peuvent abuser de leur position, établir des faux en écriture et faire chanter les inventeurs parmi bien des « pratiques » violant les droits de l’homme… A condition bien sûr qu’ils soient payés pour ça… Et ceci le plus légalement du monde puisque des lois violant la constitution française ont été votées dans ce sens… Chacun appréciera ces faits à leur juste valeur.<br /> J’accuse le gouvernement français d’être informé de l’existence d’une technologie française permettant le traitement du CO2 et permettant l’exploitation du CO2 à des fins de production d’énergie propre à faible coût, et d’avoir clairement préféré chercher à imposer une taxe carbone au lieu de mettre ces individus hors d’état de nuire et de développer cette technologie dans l’intérêt général de l’humanité, avant de faire marche arrière sur la taxe carbone pour ne pas « plomber » notre économie… A moins bien sûr, que Mr Sarkozy ait réalisé que la mise en place d’une telle taxe m’aurait fait beaucoup de publicité et que cette affaire aurait fini par éclater…<br /> J’aimerais que vous réalisiez maintenant que ma vie est menacée, on me menace de différents procès, pour me contraindre au silence mais on m’a aussi menacé de mort ou plus exactement de disparition… Si vous y voyez une nuance, excusez mon interprétation personnelle.<br /> Faire un étalage aussi franc de cette affaire représente un énorme risque pour moi, mais je n’ai aucun autre choix. Ne pouvant moralement laisser ces crapules poursuivre leurs agissements sur d’autres victimes et ne pouvant me résoudre à baisser les bras face à la stérilisation carbonique.<br /> Il faut que vous réalisiez que ce qui se décidait à Copenhague, et qui se décide ces jours ci à Bonn et ce qui se décidera à Mexico en fin d’année, est d’une importance majeure pour l’avenir de notre espèce.<br /> Les émissions de CO2 anthropique sont une menace pour la survie de notre espèce et ceci est un fait. On peut contester le réchauffement planétaire, en fait on peut tout contester d’ailleurs, mais le fait est que nos écosystèmes se modifient de manière rapide et durable.<br /> Pour exemple, dans les années qui viennent, nos océans qui nourrissent au bas mot 1 milliard d’individus seront devenus suffisamment acides à cause du CO2, pour perturber toute la chaîne alimentaire marine et ceci va menacer l’économie mais surtout va menacer de famine 1 milliard d’êtres humains… Ceci est déjà malheureusement en marche.<br /> Le réchauffement planétaire, dont l’origine peut paraître contestable à certains, menace aussi de libérer des masses monstrueuses de méthane aujourd’hui gelées (dans les glaces près des pôles, mais aussi dans les fonds marins), et de part sa grande quantité, ce méthane pourrait parfaitement s’enflammer au contact de l’air (principe des feux follets) . Si cela devait arriver, notre écosystème, notre planète, deviendraient rapidement incapables de soutenir la vie telle que nous la connaissons et ceci n’est pas un scénario catastrophe fantaisiste… Ceci a déjà eu lieu dans le passé de la Terre et a déjà commencé selon une étude scientifique parue en début d’année.<br /> Ma technologie, aujourd’hui paralysée par ces crapules et le système de protection industrielle est notre seul espoir face à cette catastrophe écologique majeure et ceci est malheureusement un fait incontournable… Et chaque minute perdue ne se rattrapera pas…<br /> Il est inutile de croire une seule seconde que nos politiques vont réduire de 30% nos émissions de CO2 et que cela suffira à régler le problème… D’abord nous sommes trop dépendants des énergies fossiles pour y parvenir, et ensuite 30%, 50% ou 90% de réduction ne feraient que ralentir la machinerie qui commence déjà à s’emballer, et ce sous réserve que nous parvenions à réduire nos émissions, ce qui est fort peu probable mais on peut toujours croire au père Noël… <br /> Aujourd’hui il faudrait non seulement réduire nos émissions au zéro absolu, mais aussi prendre en charge le CO2 en le retirant de l’atmosphère pour soulager nos océans, qui finiront par nous le rendre tôt ou tard dans le cas contraire.<br /> Ceci, aujourd’hui, nous sommes technologiquement et économiquement incapables de le faire, seule la technologie que j’ai développée en est capable et aujourd’hui, elle est dans une impasse à cause du système de « protection industrielle » et de ces crapules.<br /> Ceci, ne vous y trompez pas est une bouteille à la mer, le dernier espoir d’une espèce à l’agonie qui dans son arrogance n’est pas capable de voir le désastre où la cupidité d’une extrême minorité la conduit et je ne me fais aucune illusion sur le fait que cette bouteille finira, noyée dans l’océan de la connerie humaine… Mais, même si ma vie en est menacée, je devais procéder à cette mise en garde.. Chacun doit vivre avec sa conscience et doit se préparer à mourir, avec et pour ceux qui en ont, ce n’est pas si évident que ça, mais encore faut il être capable de comprendre ces mots. <br /> Bonne chance à tous.<br /> <br /> Jean Luc Quéré<br /> <br /> <br /> Pour en savoir plus :<br /> <br /> <br /> Ne pas divulguer ou ne pas relayer les faits suivants serait un crime contre l’humanité :<br /> <br /> Apprenez la réalité du système de Protection Industrielle , ou comment des N.A.B.O. (Notables Agissant en Bande Organisée) usent et abusent de ce système et d’une justice à deux vitesses (celle des riches et celle des pauvres), pour spolier les inventeurs et violer les Droits de l’Homme, et ce en toute impunité, car agissant avec la complicité active ou passive dudit système, que l’on devrait appeler en fait : système de « dé-Protection Industrielle » !!<br /> Apprenez le sordide fonctionnement du système de «dé-Protection Industrielle » qui « légalise » des actes criminels !<br /> Apprenez comment une invention révolutionnaire concernant le traitement du CO2, se retrouve paralysée, et ce alors même que les « spécialistes » annoncent pour conséquence du réchauffement planétaire, des problèmes alimentaires pour au moins un milliard d’êtres humains d’ici 30 à 40 ans, et ce alors même que les catastrophes climatiques se font de plus en plus nombreuses partout sur la planète ( et de plus en plus proches de nous : tempête Xynthia, de triste mémoire). <br /> Apprenez comment cette invention, vitale pour la survie de l’espèce humaine face à la « stérilisation carbonique », menace véritable du CO2 anthropique, est paralysée dans l’indifférence des dirigeants français et des médias alertés qui gardent le silence, pour permettre de générer de nouvelles taxes et pour continuer de dissimuler la vraie nature du système de « dé-Protection Industrielle » !<br /> Apprenez comment se met en place la « stérilisation carbonique », dans l’inconscience générale, alors qu’elle va réellement éradiquer toute forme de vie évoluée sur la Terre, et que cette technologie seule chance pour notre survie, existe et qu’elle est paralysée par le système de « dé-Protection Industrielle » qui soutient des N.A.B.O. par simple complaisance ou pour dissimuler sa vraie nature à des millions d’inventeurs, victimes à travers le monde de ce système abject !<br /> <br /> Ceci , hélas, n’est pas un canular… C’est la plus pathétique et la plus révoltante des vérités !<br /> <br /> <br /> Pour apprendre :<br /> <br /> Sur ces crapules : http://razlebol.skynetblogs.be/<br /> Sur la « stérilisation carbonique » : http://sosterrien.skynetblogs.be/<br /> En anglais pour diffusion internationale : http://sosterriensanglais.skynetblogs.be/<br /> <br /> Ne pas diffuser ces faits, serait un crime contre les inventeurs et un crime contre l’Humanité… <br /> Que vous pourriez tous, payer très cher dans les années ou les mois à venir. Prenez en conscience avant qu’il ne soit trop tard
Répondre
S
Juste un lien avec un dossier du Monde Diplomatique <br /> <br /> http://blog.mondediplo.net/2009-12-04-Changements-climatiques-le-grand-tournant
Répondre
Publicité