Actualité de Jack London

Cette brève « autobiographie », parue en 1906, est l’un des textes politiques de Jack London les plus marquants. Dans ce récit personnel, il retrace le chemin qui le mena à devenir socialiste. Crieur de journaux, pilleur d’huîtres, ouvrier dans une conserverie, employé d’une teinturerie, électricien, vagabond… il nous livre ici les voies qui firent de lui l’auteur engagé si longtemps méconnu. Une plongée au cœur du destin d’un des écrivains américains les plus ambigus. L'AUTEUR Né à San Francisco en 1876, Jack London est issu d’un milieu misérable et marginal. Il parvient au succès après des années de pauvreté, de vagabondage et d’aventures en écrivant L’Appel de la forêt. Ses nouvelles et ses romans sont souvent des récits de voyage où la nature représente un idéal de pureté face à l’injustice de la société. London a aussi été un militant socialiste très actif et nombre de ses textes, comme Le Peuple de l’abîme, Le Talon de fer, ou Révolution et autres essais — dont est extrait Ce que la vie signifie pour moi — sont de féroces critiques sociales. Jack London meurt en 1916 à Glen Ellen. Ce que la vie signifie pour moi, de Jack London Traduit de l’américain par Moea Durieux • Préface de Francis Combes 6 € • Format : 122 x 192 • 48 pages • ISBN : 978-2-916136-03-5  Éditions du Sonneur

Comments

[Lapinos]

Je vais défendre Marx simplement : le personnage le plus atroce dans la société est celui du réformateur, qui se sert de la misère du peuple pour lui faire espérer une amélioration de sa condition. Ce socialisme civique ne fait que répéter le truc des civilisations païennes où l'on promettait aux serfs une vie meilleure après la mort.

- Si Marx n'est pas de ceux-là, pas plus que le Christ ou saint Paul, c'est parce que son propos est pur de toute formule d'organisation sociale, et Marx conscient contrairement à Rousseau qu'une organisation sur le mode égalitaire relève de l'utopie. La concurrence est le mode d'organisation le plus naturel, et qui l'emporte donc nécessairement. La société est atroce, parce que la nature l'est.

- L'écologisme est une doctrine de commerçant belge qui n'a jamais mis les pieds dans la nature : elle n'a rien de chrétien.

- Quand on a connu le tremblement de terre et l'incendie de San Francisco comme Jack London, on devrait être dissuadé de croire que la société, ersatz de la nature, peut être autrement que sauvage.

[vieuxphilobelge]

Pierre BOTHY,

Philosophe socialiste et écologiste chrétien.

Mail : pierre.bothy@base.be

http://www.philosophie-socialiste-ecologiste-chretienne.be/

Fondateur de la Philosophie de La Vie, de La Vérité, de La Voie et de l’Amour.



Le 15 janvier 2012.

Le socialisme, un grand idéal dans le Monde à venir !



Mais il doit renouer avec ses racines spirituelles !



Car sans Dieu, il ne pourra jamais se réaliser : C’est la grande Erreur de Karl Marx et toute sa suite ! Ce juif protestant s’est fourvoyé dans les méandres diaboliques des philosophes pervers, allemands et grecs !

Heureuse la nation qui prend Dieu pour Maître ! Mais au lieu de demander l’Aide de Dieu, son Soutien, son Inspiration, et en faire son Guide suprême, il s’en est fait sottement et diaboliquement son Ennemi !

Ne cherchez pas d’autres causes ! Elles ne peuvent, au mieux qu’être secondaires ou apparentes !

Le Seul « philosophe » et Guide sûr à 100 %,

c’est le VRAI Christ !

Ceci est vrai pour tous les Chercheurs, pour tous les Hommes de bonne Volonté !

Consultez mon site : Contrairement à l’usage, toutes reproduction est permises et même souhaitable pourvu que vous en citiez l’Origine et son Site.

Fraternellement à tous mes frères et camarades,

Le vieux philosophe belge,

Pierre Ludovic Alexis Bothy.