Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
A l'indépendant
Publicité
  • De Marx à Teilhard de Chardin, de la place pour (presque) tout le monde...
Newsletter
Archives
Visiteurs
Depuis la création 420 533
8 février 2014

Clermont-Ferrand: la librairie "les Volcans" ne doit pas disparaître !

93528263

http://amislibvolcans.canalblog.com/

http://www.everyoneweb.fr/lacgtchapitre.com

 

 

                   Vous aimez la Librairie Les Volcans

                              Vous voulez la soutenir 

         L ' Association les Amis de la Librairie Les Volcans

                                vient de voir le jour 

 

   Cela vous permet notamment de faire des promesses de dons pour soutenir la SCOP et pérenniser la Librairie via une adresse mail : donsvolcans63@gmail.com  ( n' oubliez pas de mentionner votre nom, adresse et montant de la promesse de dons) .

     Autre info importante : dans le cadre de la 5ème journée de soutien du samedi 8 Février, vous pourrez adherer à l' association et faire des dons pour la soutenir. Début des animations vers 14h , 14h30.

Publicité
Publicité
Commentaires
H
C'est une idée que j'ai eu pour notre propre librairie dont le sort est relié à celle de Clermont-Ferrand. J'utilise beaucoup la médiathèque et m'offre peu de livres dans l'année. Or le règlement des médiathèques (de la nôtre en tous cas) est stupide. Par deux fois, j'ai voulu, souhaité, cherché à faire rééditer des livres épuisés. Il parait que c'est impossible, que ce n'est pas permis, que l'original appartient à la bibliothèque nationale et que .... la ré-édition n'est pas possible. Disons que c'est une façon (pour eux) de renouveler leurs livres (les lois de la consommation l'exigent). Ils sont tellement bornés que si je trouvais un excellent livre et que je veuille le garder, je n'hésiterai plus à le voler puisqu'il me suffit de dire "je l'ai abîmé, je dois le remplacer veuillez me donner les références d'un livre que je commanderai à la place pour remplacer celui que j'ai abîmé" Oui, mentir ou voler, fait parti des nouvelles relations citoyennes !<br /> <br /> J'ai bien eu l'idée d'écrire au Conseil Municipal pour leur demander si les élus ont autorité sur les règlements, mais je ne l'ai pas fait, parce qu'il y a 3 ans, voulant absolument que mes concitoyens soient au courant du "revenu de base inconditionnel" j'ai été obligé d'aller jusqu'au tribunal administratif pour faire plier la mairie. Les rapports de forces m'épuisent, je trouve ça débile. Pour le faire, il faut que je sois convaincue que c'est bien la liberté d'autrui qui est en jeu.<br /> <br /> Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune, et comme le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation, nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. Alors, pourquoi permet-on à des règlements stupides de réguler le "bien-commun" ? Je voudrai savoir si je dois passer par le conseil constitutionnel pour contester ce règlement stupide ou si le conseil municipal est autorisé à réfléchir sur le règlement de la médiathèque. La "mise en chantier de réédition d'ouvrages intelligents à l'usage des médiathèques et des particuliers" ça donnerait du travail !<br /> <br /> 2 exemples. <br /> <br /> Le 1er fut un livre sur la sexualité que j'ai trouvé dans la section "jeune public". Ce livre était absolument remarquable de respect du lecteur, de finesse et de sensibilité. Je me suis précipitée dans ma librairie (Chapitre) pour le commander, (je voulais l'offrir à ma petite-fille) mais il était déjà épuisé... ce fut ma 1ère recherche pour le faire rééditer. Mais en le rendant, j'ai fait remarquer qu'un schéma avait été découpé et la médiathèque l'a retiré du circuit (si j'avais su je l'aurai gardé)<br /> <br /> le 2ième est "Rosalie" une enfance à la ferme de Rosalie Firholz. Remarquable témoignage vécu, de besogne, dans les champs ou à l'étable, juste avant et pendant le 2ième guerre mondiale, la vie d'un enfant de cultivateur (avant de devenir agriculteur). C'est celui que je dois remplacer par "la 1ère chose qu'on regarde de G. Delacourt ou par la mauvaise élève de Alessia Gazzola. Le livre a reçu de l'eau sur les pages. Je suis ravie de le garder quand j'entendrai parler "du bon vieux temps" j'inviterai à le lire, car la France était un pays rural.
Répondre
Publicité