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  • De Marx à Teilhard de Chardin, de la place pour (presque) tout le monde...
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1 mai 2014

Une enfance en exil. Documentaire de William Cally. La déportation des enfants réunionnais en Creuse (1963-1982)

Une enfance en exil - Réunionnais de la Creuse Partie 1/3

 

Une enfance en exil - Réunionnais de la Creuse Partie 2/3

 

Une enfance en exil - Réunionnais de la Creuse Partie 3/3

 

VOIR AUSSI: http://www.jjmartial.com/index.php

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Commentaires
H
Je les remercie d'être aussi pacifique, reconstruit malgré la maltraitance, le mépris, l'humiliation. J'en tire comme conclusion que les institutions sont parfaitement inconscientes, inhumaines, aveugles, et qu'il est très facile de les dévoyer. Les zélites qui animent ces outils institutionnels sont imbus de leur sagacité, la peur est leur moteur. Je n'ai jamais compris pourquoi le communisme fait si peur. Chez les Ricains, nous voyons encore cette peur.<br /> <br /> "Personne ne peut décréter l'état de bonheur pour un autre, fut-il un enfant", c'est si vrai que je préconise une économie où ce serait l'individu qui choisirait en fonction de ses besoins dans les ressources matérielles et spirituelles que l'on trouve sur la terre.<br /> <br /> Voilà ce que disait J. Rostand à la tribune des Nations-unies en 1953 : "J’ignore quel sera le système d’économie le plus apte à assurer l’équitable distribution des biens matériels et spirituels ; mais je suis à peu prés sûr que l’époque ne peut plus être lointaine où l’on s’étonnera que durant tant de siècles, tant de choses aient pu rester le privilège de si peu de gens, et que la société ait pu se partager en groupes si inégalement traités qu’on y différait, par le quotient intellectuel, par la résistance aux maladies, par le taux de criminalité." Lui aussi parlait de distribution, c'est donc bien l' esprit de cette époque là qui croit à la responsabilité de celui qui détient l'autorité ?<br /> <br /> Il n'y a pas d'autorité. Il y a notre sentiment de dépendance, de vulnérabilité, de fragilité, et en ce 1er mai la question fondamentale est "qu'as-tu fait de ton frère ?"
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