5 octobre 2010
Le 8 octobre 1988, Printemps d’Alger, par Djohar Khater
En ce jour pluriel D’amour et de deuil D’une jeunesse à la pelle D’un peuple à la poubelle Dont ont brûla les ailes A défaut des prunelles Afin que finissent de crever Ceux dont les dents en émail Ne cessent de crier Les justes envies Si tôt étranglées...