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25 juillet 2009

La danse des atomes, par Djouher Khater

 

 

Les atomes tourbillonnent

En  hommage à l’Amour

Tournoyants  d’allégresse

Ils pénètrent  dans leur valse

En  la moindre existence

En transe ils dansent et dansent

 

Les  atomes tourbillonnent

Et en  la moindre existence

Cesse d’agir le Trou noir

Et fuse la douce lumière

Source de vie première

En transe ils dansent et dansent

 

Les atomes tourbillonnent

Et source de vie première

Enveloppent  le dernier-né

Pour que son être uni

Réfléchisse l’Harmonie 

En transe ils dansent et dansent

 

Les atomes tourbillonnent

Et réfléchissent  l’Harmonie 

Royal  sceau de protection

Solidaires chaînes en action

Pour qu’ils soient  vivifiants

En transe ils dansent et dansent

 

Les  atomes tourbillonnent

Pour qu’ils soient  vivifiants

Captons en vite  l’énergie

 Pour l’amour en danger

En offrande à l’étranger

En transe ils dansent et dansent

 

Les atomes tourbillonnent 

En offrande  à l’étranger

D’une infime part de Soi

Au fragile visage roi

De tout autre que soi

En transe ils dansent et dansent.


                                

 

Djouher Khater

Remarque ajoutée le 19/02/2012:
 Je précise à mes amis lecteurs, que le texte «  La danse des atomes » est le produit de l’interprétation personnelle  de phénomènes résultant de troubles oculaires,  à la lueur de donnes scientifiques et religieuses. En islam en effet, comme dans le christianisme et le judaïsme,  la protection des créatures incombe aux anges qui ont fonction de veiller sur elles. Aussi, je présente toutes mes excuses  à ceux  que cette lecture aurait froissés.
D.K


Danseramallah

Le monde danse à Ramallah

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Commentaires
A
C’est peut-être bien une danse soufie…Mais l’auteure n’est pas soufie. Par défaut ou par conviction, elle n’est pas soufie. Elle ne pratique ni ne prône le renoncement, mais le dés-intéressement et la juste mesure. Le renoncement n’est pas son credo. S’il lui est arrivé de renoncer, c’est parce que ses principes étaient en jeu. Sans plus.<br /> <br /> A son sens, en effet, tous les hommes ont droit à ce minimum, qui leur permet d’avancer dans la décence et la dignité. Point n’est besoin du gaspillage des ressources naturelles et des énergies humaines pour des gadgets inutiles. Car alors, ce serait fabriquer sa propre ruine et celle des générations à venir.<br /> <br /> Point n’est besoin de richesse faramineuse, de pouvoirs étourdissants pour ressentir le bien-être. Car alors, il faudrait vivre dans un bunker, pour se protéger de la haine. <br /> <br /> Mais, point n’est besoin non plus de faire du dénuement une philosophie contraire à la nature humaine et aux lois de l’existence ; à moins de le faire par quête de l’Absolu. Il faut dans ce cas, une volonté de transcendance à toute épreuve, que l’auteure est loin d’avoir.<br /> <br /> Du fait de sa conviction que la vie est faite pour être vécue, dans l’harmonie aves les éléments de la création. De par sa conviction, que les droits sont indissociables des devoirs et que l’ascèse qui, dans le giron de l’Islam, trouve son aboutissement doctrinal dans le soufisme, est souvent une fuite devant l’épineux problème de l’existence, un luxe aux dépens d’Allah.<br /> <br /> Puisque, en fait, il n’est d’aucune nécessité de vivre en retrait de la vie, pour Le rencontrer : Il est partout où l’homme Le cherche : « Où que vous auriez tourné la face, vous y auriez trouvé la face d’Allah » est-il dit dans le Coran.<br /> <br /> C’est dans l’action quotidienne, par les actes , dans la relation et le rapport à l'autre, que l’homme qui veut Lui rendre hommage, Le célèbre.<br /> <br /> Quant aux atomes en question, ils accompagnent l’auteure depuis l’enfance. D’autres ont eu d’autres expériences, ce qui n’est pas une exception : tous les hommes sont d’une façon ou d’une autre, confrontés au Mystère. Les uns en gardent la trace, appréhendant chacun à sa façon les réalités de la vie à travers elle, les autres se détournent ou s’en démarquent, résolument arrimés à la réalité qu’ils distinguent…Ce qui ne prouve donc, absolument rien.<br /> <br /> Par contre, elle a vécu, notamment, depuis sa prise de fonction en 1982 et à ce jour, des expériences extra-sensorielles extrêmement déstabilisantes, qui l’ont conduite sous la pression de l’accumulation dans les cabinets médicaux et de façon suivie, en consultation psychiatrique de 1993 à 2001. Et plus précisément, à être taraudée par des idées suicidaires , outre les tentatives, durant toute l’année universitaire 1993/1994. <br /> <br /> Apparentées, tantôt à des phénomènes para- normaux induits par des aptitudes exceptionnelles du psychisme de la patiente, tantôt au soufisme, puis à un lourd déséquilibre mental, il s’est avéré par la suite, que ces dernières provenaient d’une autre source. Tout à fait autre, même si tout vient de Sa volonté.<br /> <br /> En résumé, un état qui n’a rien à avoir avec l’état de paix et de quiétude induits par la quête spirituelle des soufis. Son antipode. <br /> <br /> D.K
Répondre
L
C'est à une véritable danse soufie que nous sommes conviés où mystique et amour de l'Autre se rejoignent dans l'harmonie donnant ainsi sens à la vie.
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